Et si le conflit n’était pas le problème ? Et si le problème était notre manière de le gérer ?

🔎 Lorsque je suis sur le point de réaliser un diagnostic sur l’ambiance et la qualité de vie au travail au sein des équipes, l’un des premiers aspects que j’observe attentivement est le rapport des individus et du groupe face aux tensions et aux conflits.

🤔 Étonnant ? Pas vraiment, car le conflit est une composante naturelle de la vie. Il est tout à fait normal qu’il surgisse et s’exprime. En réalité, le problème ne réside pas tant dans l’existence du conflit en soi, mais plutôt dans la manière dont on choisit de le gérer, ou pas…

🤹‍♂️ Ce qui rend les choses difficiles, c’est qu’il faut jongler avec des approches individuelles face au conflit, qui sont aussi diverses que variées : de l’approche du hérisson 🦔 qui va piquer, à celle l’ourson 🐻 qui va être trop gentil, il y a aussi celle du requin 🦈 qui va attaquer, la tortue 🐢 qui va se protéger, le chevreuil 🦌 qui va détaler etc etc…

➡ La manière avec laquelle le GROUPE va s’engager à prendre soin des conflits, au-delà des approches individuelles, sera déterminant. Si le groupe instaure des espaces de dialogue sécurisés, où chacun peut s’exprimer et se sentir entendu le conflit pourra être vécu et traversé.

🎁 Entre la « guerre des clans » et « la politique de l’autruche » d’autres issues sont possibles…. A condition d’envisager le conflit comme une opportunité d’améliorer les relations et les fonctionnements…

💬 Certes, le dialogue ne parvient pas à résoudre 100% des conflits, mais 100% des conflits résolus sont passés par le dialogue.

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